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Bienvenue à la Chapelle Saint Fray

 

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    En arrivant par la route du Mans après être passé sous le pont de la ligne Paris- Brest, le Moulin Hubert sur votre gauche est en la Chapelle Saint Fray, ce moulin était autrefois un moulin à tan ; il écrasait les écorces des bois environnants, le produit obtenu servait au tannage des peaux avant l'usage de l'alun. Les paysages sur la droite sont eux  de la commune de la Bazoge. Sur la  gauche en entrant dans les virages se  trouve encore le déversoir du moulin de la Place, plus loin près de l'étang de l'Essart, le moulin du même nom est transformé en habitation. Ces deux moulins étaient autrefois la propriété des Seigneurs de l'Essart ; la belle demeure à mi-pente était leur maison de campagne.  L'histoire de ces lieux remonte au moins à 1407 avec Thibault Houeau .
Sur la droite le Haras de Saint- Fray au lieu-dit la Cour ; à cet  endroit se trouvait autrefois la demeure du Prévôt qui du haut de la colline surveillait les deux moulins et encaissait les divers droits dûs au Seigneur en vertu du ban .
Plus haut encore le chemin du Domaine qui est hors des circuits ; c 'est un antique chemin creux, il mène à l'ancien presbytère et arrive au cimetière à  l'entrée du bourg, avant l'ouverture de la route du Mans il aboutissait à la Milesse au Petit-Mans.
Passé le cimetière vous pénétrez dans la partie ancienne de l'agglomération, sur votre droite l'école, sur votre gauche le Presbytère construit juste avant la Révolution. L'Eglise qui fut d'abord une Chapelle serait du XIème siècle, elle fut certainement agrandie lorsque la Chapelle Saint Fray devint une paroisse en se détachant de Domfront-en-Champagne à l'époque des essartages vers le XIVéme siècle ;  la première date d'existence connue  est 1318.(Capella Sancti Freidi)

Sur la place dite des sentiers se trouve un panneau avec le plan de ceux-ci. 

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    Notre petit village porte un nom de saint inconnu . C'est une paroisse hagiographique ,  en grande partie issue de l'essartage de la vallée du Gué-Brault sans doute entre les  XII et  XIV ièmes siècles, la Parrochia Sancti Fredi est mentionnée dans un écrit de  1407 la chapelle est devenue paroisse entre 1318 et 1407.

 Pesche, historien Sarthois du XIX ième ainsi que d'autres se sont interrogés sur les origines de ce Fredi sans approfondir le sujet,il fut qualifié d'ermite . Sa sainteté n'a jamais était établie,il ne figure pas sur la liste des saints canonisés,pourtant avant la réforme grégorienne , les évêques canonisaient par intérêt une foule de saints.       

  Plus près de nous Bigot dressa une carte fort détaillée du canton de Conlie, sur celle-ci le lieu-dit Launay-Pourri est précédé de Saint Fray, appellation que nous ne retrouvons pas sur le cadastre napoléonien, pourtant antérieur ? Ce lieu-dit était situé en face de la résidence du seigneur du lieu, l'Essart . Pour essayer de percer le mystère de Saint Fray, nous avons remonté l'histoire de la langue française et de la religion catholique .

 Autour de l'An mil la mode était aux anthroponymes d'origine germanique : freidi vient de frados qualificatif désignant un mendiant,un vagabond. En 1115 Robert Wace écrivain Normand né à Jersey qui a aussi décrit Le Mans et Chartres écrivait " désatornes fu et frados bien semblait home mendios " il parlait aussi de  "frarin":pauvre réduit à la mandicité.Ces mots désignent aussi des hommes mauvais ou lâches ils dérivent du latin frater avec ses variantes frai,frar,fratre (lexique de l'ancien Français F.Godefroy)(Larousse ancien Français).Wace fut un des premiers à écrire en langue vulgaire issue de la langue parlée par l'élite de la société,Les écrits officiels resteront en Latin jusqu'à l'édit de Villers-Cotterêts en 1539 sous François Ier.La langue française était en gestation

  En 1318 on retrouve le premier document prouvant l'existence à cette époque de la Capella Sancti Freidi, en 1489 lors du départ d'un curé il est écrit Parrochia Sancti Freidi, le lieu serait-il devenu paroisse entre ces deux dates? sans doute.Un document de 1407 pendant la guerre de 100 ans,sur la délimitation territoriale des seigneuries locales,écrit en Français cite Thibault Houau seigneur de l'Essart et de la Chapelle Saint Fray.

    La famille Bouju , importante famille bourgeoise du Mans possédait les Aitres, elle a fourni 4 chanoines au chapitre de Saint Julien Saint Pierre la Cour de 1339 à 1452 . cette famille pourrait être à l'origine de la création de notre paroisse devenue commune à la Révolution . La paroisse prit Saint Julien comme saint protecteur et non pas saint Fray non canonisé , si l'on canonisait beaucoup avant la réforme Grégorienne il n'en fut plus de même après . Saint Fray fut sans doute comme le dit la légende un routier, fatigué d'errer par les chemins il se fixa près de l'Essart et devint un saint homme, sans doute nommé desservant de la chapelle par le seigneur, comme cela était la norme à l'époque. Il peut aussi avoir été un ermite lié au défrichage et avoir fondé une petite chapelle sur le lieu même du défrichage ( carte Bigot) en face de l'Essart, le fait est fréquent (Daniel Pichot-Le village éclaté) beaucoup de chapelles succédant à un ermitage .

   La paroisse de la Chapelle Saint Fray résulte de l'éclatement de celle de Domfront en Champagne formée de plusieurs seigneuries au Moyen-âge . La population augmentant du fait de la mise en culture des pentes du Gué Brault défrichées; ces pentes appartenaient en grande partie aux deux familles dominantes de l'Essart et des Aitres il y eu création de nouvelles paroisses, les paroisses hagiographiques comme la notre furent les dernières à être crées chez nous . La partie du bourg  en face de l'église dépendait encore de Domfront, le vicaire de la paroisse y habitait dans la maison juste en face de la porte de l'église où il enseignait; il desservait aussi toute la partie Est de Domfront et officiait à la chapelle de Valaubrun en cette commune. La maison du centre bourg alors accolée au cimetière se trouvant à la porte l'église  était un prieuré selon un plan exécuté pour le marquis de Lavardin en 1776 le cimetière était ceint d'un mur selon Pesche ce qui voudrait dire que notre bourg comme 62% des bourgs du Maine avait un prieuré .   (Daniel Pichot - Le village éclaté -) N1510241

Les Aitres du Latin Atrium  - Aistres, Aitre, Atrie ( 1080 ) sont au Moyen-Age une cour avec portique précédent une église et faisant communiquer deux édifices , c'est un espace d'asile, un lieu de rassemblement de la communauté des hommes libres du village , c'était aussi le cimetière . Le parvis de l'église , les cimetières étaient protégés et éxonérés de taxes , le marché s'y tenait ( il n'y avait à l'époque pas de tombes) . Les Bouju des Aitres (voir photo à droite) sont sans doute à l'origine de la création de la paroisse de la Chapelle Saint Fray, suite aux essartages et à l'augmentation de la population, la chapelle de leur domaine devint l'église de la paroisse outre les Aitres nous apercevons à gauche l'ancien prieuré et en bas de la photo la partie anciennement de Domfront avec la maison du vicaire fort bien renovée .Aitres a souvent désigné des lieux de défrichement précoce (Larousse) ce qui pourrait vouloir dire qu'avant les défrichages des pentes il existait sur les terres légères du plateau un lieu de peuplement qui a succédé à la villa Gallo-Romaine, l'étude des toponymes nous confirme cette hypothèse: les pentes et les vallées ont des toponymes en ière beaucoup plus récents que ceux du plateau .

 


Toponymes et lieux-dits

     Comme on peut le constater sur cette carte de la fin du XIX ième siécle établie par l'ingénieur des La chapelle st fray commune copieponts et chaussées Bigot, les toponymes des vallées dans la partie basse de la carte sont en très grande majorité en terminaison ière , alors que ceux de la partie concernant le bourg et la partie haute de la carte sont plus anciens, sans   doute antérieurs aux essartages .

    Les Aîtres : vu ci-dessus, sans doute d'époque carolingienne, avec ses déformations, en Hêtres ou êtres que l'on trouve sur les pentes où poussaient  vergers et vignes (noms de champs) c'était donc bien une maison de seigneur.

    L'Essart :c'est un défrichage : Thibaut Houeau en 1407 avec ses voisin délimita sa propriété, les Houeau ou Houau d'origine normande sont arrivés d'Irlande peut-être chassés par les invasions écossaises qui ravagèrent ce pays au XIVième siècle. Dans leur sillage la peste arriva en 1348 faisant disparaître 1/3 de la population, il y eu récession économique . Beaucoup de seigneurs d'origine normande émigrèrent et revinrent en France leur pays d'origine (ils étaient partis avec Guillaume le Conquérant ) - voir histoire de l'Irlande- . Du début du XVième date sans doute cette maison de campagne avec sa chapelle et sa ferme; ainsi les seigneurs du Mans avaient-ils des maisons à la campagne pour la chasse et aussi pour s'isoler en période d'épidémie .

    La Cour:  La cour était la demeure du prévôt chargé localement d'appliquer le ban pour le seigneur de l'Essart, il percevait entre autres les droits sur les deux moulins en contre- bas situés sur le Gué-Brault  mais aussi des taxes pour les ponts, le four ..... Il exerçait aussi le droit de basse justice pour le seigneur, à ce titre la Cour avait une petite prison, située dans la maison elle a était détruite il y a peu. Un homme et son cheval pouvaient être retenus 24 heures pour de petits délits liés au ban . C'est en réalité deux constructions d'une pièce juxtaposées, la charpente est à coyau certaines pièces sont sculptées à, l'extrémité dépassant le mur . 

  
 
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Des grilles datant des guerres de religions existent encore à certaines fenêtres  . La Cour est maintenant un haras . 

 

                     

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      Les toponymes  en ières se concentrent sur les pentes du Gué-Brault et dans la vallée ils datent des essartages . Les toponymes se trouvant sur le plateau route de Mézières et de Sainte-Sabine sont plus anciens et ont succédé à la villa gallo-romaine au temps où la Chapelle st Fray n'était qu'une chapelle , à une exception près toute proche du lieu où se trouvait la villa 

-La Perrière- d'après les historiens ce toponyme désignait au Moyen- âge un lieu où l'on trouvait de la pierre mais pas forcément une carrière .Les pierres des églises venaient souvent des ruines des villas ou des temples anciens, notre église avec sa maçonnerie en petit appareil n'a pas du échapper à cette règle . Toute proche la

-Tasse au Coq- en limite de commune partagé avec Domfront-en-Champagne ce lieu-dit évoque sans doute le coq de bruyère qui au moyen-âge peuplait nos forêts, celui-ci avait l'habitude d'exécuter une parade bruyante  au pied d'un arbre pour appeler les poules, tasse en vieux Français c'est aussi un ensemble de végétaux, d'arbres , ce lieu-dit comme beaucoup d'autres a gardé son appellation du moyen-âge .

- Le Bois des Isles- au sommet de notre commune était un lieu où l'on extrayait autrefois les sables roussards destinés à la fonderie de sainte Jamme sur Sarthe . Ce sable était emmené à dos de mulets, au retour ceux-ci ramenaient des déchets de fonderie destinés à remblayer les chemins , on en trouve encore aujourd'hui sur nos sentiers .Ces convoyeurs et ces bêtes vivaient près des trous d'extraction, les forêts étaient aussi peuplées par toutes les personnes exerçant des métiers du bois si nombreux autrefois, ainsi toutes ces isles ou îlots de vie ont-ils donné son nom à notre Bois des Isles. une partie de ce bois s'appelle  par ailleurs bois des lottiers de lot

 - Vau - Appelation ancienne de val,vallon, proche de la Perrière et de l'emplacement de la villa détruite c'était sur le cadastre napoleonnien une ferme. D'un talus de celle-ci fut dégagée fin XIX éme une construction romaine toujours visible par le sentier rouge, elle fut d'abord considérée  comme des thermes, des recherches récentes ont exclu cette hypothèse. A mi-chemin entre ce bâtiment et l'emplacement de la villa, au cours d'un ramassage nous avons trouvé des débris de tuiles romaines et de fonderie; il y avait sans doute là un atelier de fonderie de sable roussard, plusieurs blocs conséquents  de bas -fourneaux furent retrouvés par nos soins dans une haie qui n'existe plus, selon les archéologues qui ont fouillé  le site il est fort probable que d'autres édifices se trouvent encore enfouis dans ce talus.

- Belle-vue- de celle-ci on pouvait voir Le Mans , de même pour Vau du chemin qui  le surplombe on voit le Mans de même pour le domaine de monsieur le curé et la Cour

-Bel-Air- au sommet de cette butte du bois qui était peut-être plus dégagée que maintenant vu la surexploitation de la forêt . 

-Chateaubert- chateau ne désigne pas forcemment des fortifications mais vient de castrum en latin au début du IIiéme millenaire castrum designe toujours le chateau fort féodal ,il pourrait s'agir d'un lieu de garnison sur la voie d'accés à la villa gallo-romaine bert en vieux Français signifie: berceau, panier, claie .

-La Houssaie- Le houx prolifère naturellement sur ces terres légères et sableuses, il est normal qu'un hameau porte ce nom d'origine germanique . 

 -Le Domaine- sa proximité avec la Cour peut laisser penser que celle-ci était la ferme dépendant de la Cour  au haut moyen âge avant l'an mille . Cela est possible mais le Domaine est surtout connu pour avoir été le domaine ecclésiastique de monsieur le curé de la Chapelle St Fray jusqu'à la Révolution où il fut vendu. Il redevint demeure du curé plus tard; le curé Pataux qui nous a laissé des écrits très intéressant y habitait en 1863 . Par l'édit de 1689 les habitants des paroisses doivent fournir une habitation et des revenus aux desservants,  sur le linteau  de la porte est inscrit 1683, refait à neuf ou construit, rien ne le dis , la ferme mise en métayage par le curé lui apportait des revenus et des provisions .

                                                  Les toponymes des vallées :

     Les vallées portent des toponymes en ière accolés souvent au nom du défricheur ou de la corporation qui y travaillait  ainsi le hameau le plus important de notre commune s'appelle t-il :

 -Les Rainbaudières- Pesche dans son dictionnaire ne peut en donnait l'origine  disant qu'il est aussi écrit reine . Le Larousse d'ancien Français ansi que le lexique de F. Godefroy nous dise que rain ou raim c'est un rameau, un embranchement de routes; sur le cadastre napoléonien on peut voir ce rameau de chemins avec ses intersections partir de la vallée et monter par les rainbaudières vers le Clos, le Domaine et rejoindre alors le chemin dit du petit-Mans , baudières vient de baudet . Autrefois la grande majorité des transports se faisait par portage la plupart du temps par des mules ou des ânes . Les Rainbaudières existent aussi dans d'autres communes  dont une dans la Manche  aussi à la croisée des chemins . Aux Rainbaudières chez nous se trouve un champ de la forge , un arc de défrichage est aussi visible sur le cadastre napoléonnien laissant à penser que le lieu existait avant le défrichage  complet des pentes de la vallée .Aux Rainbaudières on trouvait des ânes et des mules pour relayer celles qui arrivaient épuisées .

-Les Trousses -caillères- Au fond de la vallée se trouve ce hameau dont le nom intrigue,  il vient de trou , fond de quelque chose, caillères  vient de la couleur des pierres qui couvraient le sol après labours

La Place- ou l'emplacement d'un moulin aujourd'hui disparu la commune comptait autrefois trois moulins dont un à l'Essart et le troisième au Moulin-Hubert près de la voie ferrée ce dernier était un moulin à tan  , la force de l'eau soulevait des marteaux qui écrasaient les écorces des arbres abattus dans les bois environnants  à la Miottière se trouvait autrefois une tannerie , les Aulnes est un lieu humide planté des arbres du même nom.

 

 

 

 

                                                            Les sentiers pédestres      



                                                

 


 

 

 

 

Le circuit Bleu reprend la partie Est du circuit jaune, il est plus court de 7 kms, il permet de contempler le village dans son écrin de 

verdure du haut des sommets qui l'entourent.

Le circuit rouge concerne la partie Ouest de la commune limitrophe de Domfront, il passe près des ruines de Vau qui seraient les thermes d'une villa Gallo-Romaine dont les fondations ont été repérées par des archéologues sur des photos aériennes ; cette villa non identifiée se trouvait au lieu-dit la Perrière ; entre la villa et les thermes, un grand espace où nous avons trouvé les traces d'une construction et d'un emplacement de bas-fourneaux où nos ancêtres fondaient le sable Roussard à l'aide du charbon de bois.
Après les Bruyères et la Houssaye un très ancien chemin creux vous amènera au moulin de la Cochetière en Domfront, sa roue a quasi disparu rongée par le temps ;  il date du Moyen -Age comme les autres moulins cités. Quand on a essarté la vallée il a fallu des moulins pour moudre le blé récolté. Ce moulin autrefois  propriété ecclésiastique  est cité dans plusieurs ouvrages sur le département et les moulins. Ce moulin comme les autres  dans la vallée tournait grâce à une roue à godets qui était utilisée sur les petits cours d'eau ;  ces roues  étaient alimentées par une dérivation qui faisait office de réserve d'eau. Plusieurs films ou documentaires furent tournés au moulin de la Cochetière.
Vous remonterez jusqu'au bourg par la Porie là où  se trouvait autrefois le Prieuré dont dépendait ce moulin. Vous terminerez votre circuit en passant à gauche de la route par l'ancienne route de Domfront qui arrive en face de l'église.

 

 

    Le  circuit des Panoramas reprend le circuit Bleu en y ajoutant la partie Ouest que nous venons de décrire et une partie Nord qui permet de rejoindre les sentiers de Sainte-Sabine ; au lieu-dit les Bruyères, vous admirerez de superbes panoramas sur Domfront et au delà sur Sillé-le-Guillaume ; au bois des Isles étaient autrefois exploités les sables roussard que des mules emmenaient à la fonderie d'Antoigné au retour elles ramenaient des scories qui servaient à encaisser les chemins on peut encore en voir à l'entrée de la variante du circuit bleu route du Mans.
Le circuit vert ou du " vieux chemin" est un circuit rouge amputé de sa partie forestière, il permet de descendre de la Houssaie à la Cochetière très abrupt il descend tout droit du plateau au moulin, il est au moins contemporain de celui-ci  ,il ne devait être emprunté que par les ânes et les mules qui descendaient leur chargement de céréales au moulin, la farine se conservant mal elles étaient moulues par petite quantité La terre a était enlevée au fil du temps jusqu'à la couche de Roussard.

 Chemin faisant vous aurez visité la majeure partie de notre petite commune de 637 hectares dont 169  de bois et de taillis, peuplée d'à peine 400 habitants.  

 

 

 
 

 

 

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